C’est de sa faute

Tournure admise par l’Académie française et le Grand Robert

Certains hésitent encore à employer l’expression C’est de sa faute, croyant qu’il faudrait préférer, en français châtié, C’est sa faute. Or, les deux sont considérés comme parfaitement corrects, et cela, depuis le 19e siècle. Dans la plus récente édition de son dictionnaire, l’Académie française donne même l’exemple suivant : C’est notre faute, ma faute, de ma faute, sans qu’il soit question de niveaux de langue. Le Grand Robert, à l’article faute, abonde dans le même sens.